• La Troisème chaise

    Dans cette démocratie aux allures bipartiste, l'on a souvent entendu que François Bayrou avait "le cul entre deux chaise", Et bien c'était faux hier et ca l'est d'autant plus aujourd'hui. Nous sommes à l'aube d'une nouvelle ère démocratique, une nouvelle ère voulu par les Français qui le 22 avril 2007 ont été 7 millions a porté leur voix sur le nom de François Bayrou, et cela se poursuit avec la création du Mouvement Démocrate et encore une fois les français ont répondu présent ! Avec a ce jour près de 50 000 nouveaux adhérents qui s'ajoute aux quelques 40 000 qui étaient déja adhérent Udf. Et le parti n'a qu'une petite semaine... François Bayrou et ceux qui l'ont soutenu ont fabriqué cette 3ème chaise, cette troisième force politique et qu'importe le départ de la majorité des actuels députés udf vers Nicolas Sarkozy, le 10 juin prochain il yaura un candidat UDF - Mouvement Démocrate dans chaque circonscription, pour marqué la 1ere page de l'histoire de ce nouveau parti. Les 7 millions d'élécteurs du 22 avril 2007 ne se sont pas évaporé et à coup sur ils répondront présent les 10 et 17 juins prochain. Pour que l'aventure continue, pour qu'il yait un troisieme contre pouvoir en France, pour que l'on suivie la voix d'une nouvelle voie...

     

    [Crée il y a sept jours, quelques minutes après l'annonce des résultats du second tour de la présidentielle, le Mouvement Démocrate serait déjà un succès. Le parti a recueilli "52.000 inscriptions en sept jours", a avancé son fondateur, François Bayrou, invité du Grand rendez vous Europe1/TV5/Le Parisien.

    Ces nouveaux inscrits "disent : 'on rêvait depuis longtemps d'un parti qui ne soit ni le PS sclérosé, ni l'UMP' qu'ils qualifient comme ils veulent", a poursuivi François Bayrou. Ils "rêvaient depuis longtemps d'une démarche politique nouvelle, d'un autre chemin".

    Le fondateur du nouveau parti centriste a en outre assuré qu'il n'y avait "aucun contentieux d'aucune sorte" avec Nicolas Sarkozy et qu'il n'était pas "en situation d'embuscade contre lui". "Les choix de vie qui sont les siens, la manière dont il a mené sa campagne, tout cela était en effet très différent de ma vision de la France", a-t-il ajouté. Mais "cette période est derrière moi, il est le président de la République. Je lui fais crédit, mais je veux demeurer libre pour soutenir ce qui mérite de l'être, et pour au contraire signaler ce qui serait inquiétant", a-t-il conclu.] source LCI.fr

     


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